La roue du divin tourne, tourne. Dans un sens ou un autre, le Grand Horloger est le seul à en juger, de sa grandeur majestueuse, dans la lumière nous plonge dans notre destin ambivalent.
Il affectionne ses enfants avec volupté qu’il a choisi de chérir ou bien de les abandonner face à leur destin pour se purifier des actes qu’il a commis, quelle que soit la vie qui leur a imposée, seuls ils doivent se débrouiller.
Communs des mortels libres ou bâillonnés, nos jours sont comptés.
Les anges prennent soin de nos âmes et, nous sauvent des péchés que l’on a pû accomplir. La seule pensée du Grand Horloger est de nous aider à nous émanciper tout au long de notre vie, à engager notre existence pour nous servir de tous nos sens et des épreuves qu’il a dressées sur notre chemin.
Pour nous enrichir de nos vies végétales, animales et humaines, nous devons explorer de nombreuses péripéties pour nous familiariser avec tout ce qui nous entoure et, émanciper notre façon de voir les choses. Le divin a pour chacun de nous un projet, en expérimentant des expériences les plus folles et les plus incongrues, avec un profond désir de nous catéchiser pour devenir des êtres parfaits à son image comme le Pape.
La plupart d’entres nous sommes tous des ignorants dépourvus de savoir, notre âme et notre coeur ont tant à apprendre émotionnellement et psychologiquement pour nous entendre avec nos semblables, pour égayer notre compassion envers les autres.
Ainsi va la vie, pour être maître de son esprit et ne pas vivre dans une sombre ombre néfaste, qui ronge les plus futiles et les plus ambitieux.
Sa fierté est de nous façonner à son allégorie pour atteindre l’éveil. Rien n’est plus beau pour lui de sauver une âme déchue, dans un tourbillon luciférien.